mon témoignage de guérison

Et oui, je suis guéri depuis le 29 juillet dernier.

Ce texte est un copier coller de mon témoignage sur un autre forum que tout le monde connait ici.

Bon week end à tous. Amitiés sincères. Christophe.

Moi je suis à 150 depuis hier et toujours pas top mais j'ai grand espoir déjà je vais beaucoup mieux dans ma tête !!!

C'est déjà une très bonne chose en tout cas, il faut juste t'accrocher !!

Au passage pour les aides, envoyez-moi un MP ou à Florette ou postez dans "Papotages".

Ce sera mieux que sur un fil qui n'a rien à voir avec la question posée.

Merci

Salut les amis !

Mon témoignage : je fais partie des échecs du baclofène ! un an de galère pour me retrouver abstinente... l'indifférence n'est semble-t-il pas pour moi, et je n'ai plus les bonnes euphories décadentes et colorées qui abreuvaient mon sourire intarissable... Dix mois pour déchanter ! Si j'avais su, j'aurais attendu 3 ou 5 ans qu'on maitrise ce produit incertain !

Bonjour,

Pourrais-tu nous expliquer exactement ce qui a pu se passer ?

J'ai commencé le baclofène en septembre 2010, je suis montée jusqu'à 200mg de manière extrêmement organisée et sérieuse malgré des ES à l'extrême que je ne souhaite à personne, et pas d'indifférence donc je suis redescendue lentement, quand j'arrive à 80 craving etc donc je reste à 120, dose qui m'aide à maintenir l'abstinence sans la torture, mais je pense quotidiennement à l'alcool et si je me lâche...
Je relirai le rapport de BdR, il nous appelle les "demi-guerris", ça représente un pourcentage assez conséquent parmi les baclo-consommateurs.

Ce n'est pas une demie-guérison à mon sens.
J'ai toujours dit que le baclofene était un "coup de pied au cul", une grande aide pour s'en sortir.

Mais sans la volonté, il ne pourra rien faire. Ceci est mon avis mais je sais que le baclo m'a beaucoup aidé pour le moment. Après à chacun de voir si il décide de prendre sur lui pour s'en sortir.

Bises

Quelle drôle d'idée ! Qu'est-ce qui peut te faire supposer que je manque de volonté... franchement, c'est tout le contraire ! La différence entre l'indifférence et l'abstinence est claire pour tous... ou presque, lol !

Déjà l'indifférence est une bonne chose, l'abstinence est différente et c'est là que la volonté agit, c'est juste ce que je voulais dire

Je ne veux surtout pas donner de leçon à personne j'ai été 3 ans abstinente des fois dans la souffrance des fois non mais j'ai replongé je suis à 150 de baclo le combat est pas gagné, non je le reconnais mais mes envies diminuent sans douleur .. je crois qu'il faut être patient et surtout bien en parler avec son médecin prescripteur, certes le baclo n'est pas miraculeux mais c'est une sacrée aide
A voir je pourrais vous en dire plus dans quelques temps cela fera deux mois fin octobre que je le prends

Bonsoir Domenika,

Tu viens de dire : sans douleur, c'est exactement ce qui fait la force du Baclofène. Tu n'as pas à subir les affres de l'abstinence et tu laisses faire les choses.

D'autres vont avoir besoin d'y joindre de la volonté mais dans les deux cas, très souvent le résultat est là.

Mais il y a un gros pourcentage de demi-guéris, le résultat est là aussi, insatisfaisant pour certains...

Je pense qu'il ne faut s'arrêter qu'aux résultats sur l'alcool du baclo moi en ce qui me concerne je suis hyper nerveuse mais renfermée je garde prend tout sur moi et j'étais une hyper angoissée depuis petite la première impression du baclo presque depuis le début du traitement et je le redis c'est très récent c'est que j'avais l'impression que l'on m'avait débranchée de la prise 380 volt sur laquelle j'étais sacré soulagement

La baclo a un effet anxiolytique également enfin pur ma part...

Bonjour et bienvenue Chrysalide,

Excuse mon retard à te répondre mais j'ai pas mal de choses à gérer en ce moment !

Nous nous connaissons depuis longtemps et suis d'accord avec toi. Il y a un pourcentage de "demi- guéris", le constat a été fait par Renaud de Beaurepaire. Tu n'es pas la seule à être dans cette situation. Quand en plus, des effets secondaires importants rendent encore plus difficile le traitement, cela n'arrange pas la situation. L'essentiel est que tu puisses gérer ta consommation d'alcool convenablement.

Amicalement

Florette